Bon eh bien, à ta demande, je publie mes rêves,

Bon eh bien, à ta demande, je publie mes rêves, mais je suis incapable de les interpréter.

Cette nuit j'ai eu droit à trois rêves successifs. Il n'y en a que deux dont j'ai gardé un réel souvenir.

Le premier me mettait dans la situation suivante. Il faisait nuit, je me trouvais dans une rue, accompagnée d'un ami. Nous marchions et j'étais bien angoissée. Je me rappelle que certaines personnes passaient autour de nous et nous regardaient étrangement, mais mon ami n'avait pas l'air d'en tenir compte.

Je lui ai dit subitement : "Ne me lache pas s'il te plaît, sans toi je ne serai rien".

Et lui m'a répondu : "Je n'en ai pas l'intention, mais je ne sais plus qui doit aimer l'autre dans cette histoire".

Assez étrange comme rêve, je me rappelle pas de la suite, je n'ai que de vagues souvenirs où nous enchaînions toutes sortes d'obstacles en étant toujours attaché l'un à l'autre.

Le second rêve m'amena chez mes voisins.

Je me rappelle avoir voulu rentrer chez moi et ma voisine m'a demandé si je ne voulais pas rentrer quelques minutes chez elle. Je lui disais que j'étais un peu en retard et que j'avais beaucoup de choses à faire, mais elle insistait tellement que j'ai fini par accepter en me demandant pourquoi elle m'invitait chez elle alors qu'elle ne le fait jamais.

J'entrais donc dans la maison, qui était tout à fait différente de la sienne dans la réalité.

Je ne sais plus de quoi nous parlions mais soudainement je lui dit que j'avais un travail à réaliser pour mes études mais impossible de me souvenir du sujet dont j'ai parlé. Je lui expliquais vaguement en quoi consistait ce travail et elle me dit que sa fille pouvait m'aider qu'elle possédait une cassette vidéo qui me serait d'un grand secours.

Je ne comprenais pas car ma voisine à trois garçons mais aucune fille. Mais instinctivement j'acceptais. Elle appela donc sa fille qui m'entraîna à travers toutes les pièces de la maison. Enfin nous arrivâmes à une porte qui, me disait-elle, donnait sur un escalier. Cet escalier aboutissait à une pièce dans le style d'une cave où se trouvait la cassette en question.

Nous étions à cet instant entre deux pièces. Sur ma droite il y avait une espèce de long couloir de couleur pastel, mais manquant d'éclairage et rendant le couloir sombre. A l'endroit où je me trouvais, la pièce était tapissée d'un papier peint de couleur mauve pastel, très joli. Une couleur apaisante, mais malgré tout, j'avais peur de descendre les escaliers.

La fille de ma voisine s'engagea la première et referma la porte derrière elle.

Ma voisine, après quelques minutes, m'invita à ouvrir la porte et à descendre les escaliers, ce que je fis, avec la peur au ventre. Les murs de la descente d'escaliers étaient blancs éclairés par un petit plafonnier donnant une lumière orangée.

Arrivé en bas des escaliers la fille de ma voisine me tendit la cassette vidéo que je pris en main. Elle m'indiqua une porte un peu plus loin à ma gauche et m'expliqua qu'il fallait que je l'emprunte pour trouver la sortie et que tout se passerai bien.

Et là, je me suis réveillée.

Virginie